La règlementation qui s'applique aux producteurs de confiseries en matière de colorants artificiels n'est pas toujours respectée.
Les confiseries contiennent beaucoup de colorants artificiels, car les couleurs vives attirent les jeunes consommateurs.
Dans 28% des cas environ, il s'agit d'un problème d'étiquetage : défaut de mention de certains colorants retrouvés à l'analyse ou, au contraire, absence dans le produit testé de colorants mentionnés.
Dans 14% des cas environ, la non-conformité est liée à la présence de colorants à des taux non autorisés, pour les colorants ayant des doses journalières admissibles (DJA) peu élevées.
Le risque demeure généralement assez faible puisque les teneurs non conformes constatées sont généralement légèrement supérieures aux taux autorisés et ne sont pas forcement des produits allergènes.
Source : Le Figaro